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About Abraham Hossein
Robert Hossein (30 December 1927 – 31 December 2020) was a French film actor, director, and writer. He directed the 1982 adaptation of Les Misérables, and appeared in Vice and Virtue, Le Casse, Les Uns et les Autres and Venus Beauty Institute. His other roles include Michèle Mercier's husband in the Angélique series, a gunfighter in the Spaghetti Western Cemetery Without Crosses (which he also directed and co-wrote), and a Catholic priest who falls in love with Claude Jade and becomes a communist in Forbidden Priests.
Cinematic career
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In 1967, he was a member of the jury of the 5th Moscow International Film Festival.[2] His 1982 film Les Misérables was entered into the 13th Moscow International Film Festival where it won a Special Prize.[3]
Although Hossein had some modest international successes with films like Toi, le venin and The Vampire of Düsseldorf, he was much singled out for scorching criticism by the critics and followers of the New Wave for the unashamedly melodramatic frameworks of his films. The fact that he was essentially an auteur director with a consistent set of themes and an extraordinary mastery of original and unusual approaches to staging his stories, was never appreciated.[citation needed] He was not averse to trying his hand at widely different genres and was never defeated, making the strikingly different spaghetti western Cemetery Without Crosses and the low-budgeted but daringly subversive period drama I Killed Rasputin.[citation needed] However, because of the lack of wider success and continuing adverse criticism, Hossein virtually ended his film directing career in 1970, having concentrated on theatre where his achievements were never questioned, and subsequently returning to film directing only twice. With two or three exceptions, his films remain commercially unavailable and very difficult to see.[citation needed]
Personal life
Robert Hossein's father was André Hossein, a composer of Persian[4] or Azerbaijani origin,[5][6][7] and his mother was Anna Mincovschi, a Jewish comedy actress from Soroca (Bessarabia).[8][9][10][11] He was married three times: first to Marina Vlady (then Marina Poliakoff; on 23 December 1955, they had two sons, Pierre and Igor), later on 7 June 1962, to Caroline Eliacheff, daughter of Françoise Giroud (they had a son, Nicholas, who became rabbi Aaron Eliacheff).[8] She was fifteen at the time and he was 34. In 1973, he dated for a short while Michèle Watrin, before she died the following year in a car accident. In 1976, he married actress Candice Patou, with whom he had a son.[citation needed]
Religion
Nearing the age of fifty, Hossein was baptized in the Roman Catholic Church[12]. According to an article written by Emannuel Peze, Hossein experienced a conversion to Catholicism in 1971 during a visit to the Marian apparition at San Damiano in Lombardo Italy.[13]
In 2007, he presented a play entitled Do Not be Afraid (N'ayez pas peur) of the life of Pope John Paul II.[14] He had a special devotion to Saint Therese of Lisieux.[15]
Death
Hossein died of COVID-19 on December 31, 2020, a day after his 93th birthday
About Robert Hossein (Français)
Robert Hossein, de son nom de naissance Abraham Hosseinoff, né le 30 décembre 1927 à Paris 12e (Seine) et décédé le 31 décembre 2020 à Essey-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle)1,2,3,4, est un réalisateur, acteur, scénariste, dialoguiste et metteur en scène français.
Biographie
Enfance
Robert Hossein est né le 30 décembre 1927 à Paris 12e (Seine).
Carrière au théâtre
Robert Hossein est le fils du compositeur azéri natif de Samarcande5,6,7 ou de AchgabatNote 1,8, André Hossein, et d'Anna Mincovschi, comédienne juive native de Soroca (Bessarabie9,Note 2).
Il suit très tôt des cours de théâtre, auprès notamment de René Simon et de Tania Balachova et obtient son premier succès d'estime à 19 ans, grâce un rôle dans la pièce Les voyous. Il se dirige un temps vers la mise en scène et fait briller le Théâtre du Grand-Guignol de ses derniers feux, en association avec Frédéric Dard, avec notamment Docteur Jekyll et Mister Hyde, La Chair de l'orchidée d'après James Hadley Chase, ou encore L'Homme traqué, d'après Francis Carco.
Il prend en charge en 1970 le théâtre populaire de Reims, expérimentant un théâtre traité comme un véritable spectacle cinématographique.
En 1972, Isabelle Adjani joue avec sa troupe La Maison de Bernarda Alba de Federico García Lorca, qui la consacre (elle entre aussitôt après à la Comédie-Française).
À son retour à Paris, Hossein se lance dans une série de grands spectacles au Palais des Sports et du Palais des congrès de Paris, où le public est invité à prendre parti : Le Cuirassé Potemkine, Notre-Dame de Paris, ou bien encore Danton et Robespierre. La comédie musicale Les Misérables connaît un grand succès, et est reprise dans le West End puis à Broadway.
De 2000 à 2008, il dirige le théâtre Marigny.
Depuis 2015, avec Stéphane Bern et Eve Ruggièri, il prête sa voix à la narration du spectacle Le Fabuleux Noël du Château de Maintenon dans la scène retraçant la venue de Churchill au quartier général que l'amiral Darlan y avait installé.
Carrière au cinéma
Il commence sa carrière cinématographique en 1948 dans Le Diable boiteux, de Sacha Guitry, où il tient un petit rôle de figuration. Sa carrière s'accélère avec le film de Jules Dassin, Du rififi chez les hommes. Ensuite, il affrontera Jean Gabin, deviendra un des acteurs favoris de Roger Vadim, travaillera avec Yves Allégret, Alexandre Astruc, Édouard Molinaro, Mauro Bolognini, Nadine Trintignant, Christian-Jaque, Claude Autant-Lara et Julien Duvivier.
En 1955, il réalise son premier film, Les salauds vont en enfer, adaptation de la pièce de théâtre de son ami Frédéric Dard, dans lequel il est également acteur. Après Pardonnez nos offenses, qu'il réalise en 1956, et Toi le venin (avec Marina Vlady et la sœur de celle-ci Odile Versois), le voilà, en 1964, en héros romantique, incarnant Joffrey de Peyrac, dans Angélique Marquise des Anges, et dans trois autres films de la série (il y en a cinq en tout mais Robert Hossein apparaît dans quatre d'entre eux). Dans un registre plus intimiste, il est l'un des interprètes de La musica de Marguerite Duras, en 1967. En 1968, il retrouve Michèle Mercier, sa partenaire dans Angélique, pour La Seconde Vérité de Christian-Jaque puis dans Une corde, un colt, western français qu'il réalise et interprète.
De sa filmographie, on retiendra surtout — c'est l'avis de Robert Hossein — Le Vampire de Düsseldorf, film sobre et prégnant, qu'il réalise et interprète avec Marie-France Pisier, alors sa compagne.
Il multiplie les apparitions comme acteur, notamment dans Le Casse, d'Henri Verneuil. En 1973 il joue le prêtre et amant de Claude Jade dans l'émouvant Prêtres interdits de Denys de La Patellière ; L'Aurore écrit : « remarquablement interprété par Robert Hossein dont c'est un des meilleurs rôles. » Il a joué avec Johnny Hallyday dans Point de chute, qu'il réalise.
En 1981, il fait un retour remarqué dans Les Uns et les Autres de Claude Lelouch11. Toujours au cinéma : l'année suivante, Hossein dirige une version monumentale du roman de Hugo Les Misérables, où il n'apparaît pas, et en 1986 il se met scène sa femme Candice Patou dans Le Caviar rouge, adaptation par son ami et complice des débuts, Frédéric Dard, de sa propre œuvre ; l'acteur, lui, a pour partenaire Emmanuelle Béart dans Les Enfants du désordre de Yannick Bellon (1989), et dans Vénus beauté (institut), de Tonie Marshall, en 1999, il joue un ancien aviateur.
En 2009, on a pu le voir aux côtés de Jean-Paul Belmondo dans le film Un homme et son chien réalisé par Francis Huster.
Vie personnelle et engagements publics
Famille
Il s'est marié avec Marina Vlady le 23 décembre 1955 avec qui il a deux fils, Igor et Pierre.
À 34 ans, il épouse ensuite le 7 juin 1962 Caroline Eliacheff alors âgée de 15 ans et deux jours, fille de Françoise Giroud, dont il a un fils, Nicolas, devenu Aaron Eliacheff, rabbin à Strasbourg et qui donne des cours de religion12,13.
En 1973, il partage la vie d'une jeune comédienne âgée de 22 ans, Michèle Watrin (qui incarnait la cousine de Claude Jade dans Prêtres interdits) avant que celle-ci ne trouve la mort l'année suivante dans un accident de voiture.
Il est l'époux de Candice Patou, avec laquelle il s'est marié le 28 juin 1976 à Reims. Ils ont un fils prénommé Julien.
Religion Dans les années 1970, il se lie d'amitié avec l'aumônier du théâtre populaire de Reims dont il a la charge14.
Fils d'une juive russe et d'un père azéri de confession zoroastrienne, il se fait baptiser dans la religion catholique alors qu'il a près de 50 ans15, en même temps que son fils Julien[r%C3%A9f. nécessaire].
En 2007, il présente une pièce intitulée N'ayez pas peur sur la vie de Jean-Paul II16. Il voue une dévotion toute particulière à sainte Thérèse de Lisieux.
En avril 2016, il est reçu par le pape François, sur la place Saint-Pierre à Rome. Il confie alors à Radio Vatican sa motivation pour la défense d'un théâtre populaire « qui permette aux jeunes de trouver des perspectives de culture, de sens et de foi »
Abraham Hossein's Timeline
1927 |
December 30, 1927
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Paris, Ville-de-Paris, Île-de-France, France
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2020 |
December 31, 2020
Age 93
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